En 1969 sortait l'un des albums fondateurs du rock progressif
In the Court of the Crimson King. Un monument avant-gardiste, mélangeant jazz, contemporain et rock, où les compositions tortueuses alternaient morceaux tempétueux et plages mélodiques. Aujourd'hui passée à la postérité, l'œuvre est devenue un terrain d'exploration parfait pour le Big band du conservatoire de Bordeaux, qui après François Jeanneau en 2014, révèle avec King Crimson les trajets et développements possibles du jazz. Organisme vivant et en perpétuelle évolution, il travaille cette année sur la base d'une formation non classique : trompettes, trombones, flûte, saxophones, violons, altos, guitares, vibraphone/marimba, basse, batterie, percussions, piano/clavier ainsi que huit chanteurs.
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